BLOG ANNONCES DE LA GUILDE AFRICAINE DES REALISATEURS PRODUCTEURS

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Tuesday, January 30, 2007

Le gouvernement soutient la taxation des services audiovisuels des fournisseurs d'accès à Internet

http://www.journaldunet.com/0701/070130-taxe-cosip-internet-gouvernement.shtml Lancer l'impression



Le gouvernement soutient la taxation des services audiovisuels des fournisseurs d'accès à Internet
L'AFA a accepté de mettre la main à la poche pour financer le compte de soutien à l'industrie audiovisuelle. Les FAI négocient encore avec le gouvernement pour préciser le texte. Le temps presse.

C'est décidé : par la voix du ministre de la Culture Renaud Donnedieu de Vabres, le gouvernement soutiendra à l'Assemblée nationale l'amendement proposé par le député Dominique Richard (UMP) dans le cadre du débat sur la "Télévision du futur" (lire l'article du 26/01/2007). Sauf cataclysme, les FAI fournissant des services audiovisuels participeront bien au financement du Compte de soutien à l'industrie audiovisuelle (Cosip) à partir du 1er janvier 2008 prochain.

Les fournisseurs d'accès Internet se sont résolus depuis longtemps à accepter de financer le Cosip. Comme le souligne Giuseppe de Martino, président de l'Association des fournisseurs d'accès (AFA), "nous n'étions pas contre le texte soumis en décembre par le CNC et la Direction du développement des médias". Ainsi, en échange de financer le Cosip, les FAI voient instituée la taxation à 5,5 % de leurs revenus issus de l'audiovisuel. "Jusqu'à présent, les FAI bénéficiaient chaque année d'un rescrit fiscal négocié avec Bercy", précise Giuseppe de Martino. "C'est-à-dire que tous les ans, nous devions recevoir l'avis de Bercy pour pouvoir bénéficier de ce taux de TVA. Avec cet amendement, ce taux à 5,5 % sera inscrit dans le code des impôts, et nous ne risquerons pas de mauvaise surprise", explique Giuseppe de Martino.

Autre avantage pour les FAI de financer le Cosip, selon Bercy, cette participation leur permettra de peser dans l'industrie des contenus. Un poids qui pourra être évalué dans les prochains jours avec la reprise des négociations sur la vidéo à la demande (VOD) où l'AFA n'entend pas trouver d'accord avec l'industrie du cinéma s'il n'obtient pas le droit de proposer des films six mois après leur sortie cinéma, contre neuf semaines aujourd'hui. Enfin, l'accès au Cosip permettra aux FAI de bénéficier de subventions s'il leur prend la volonté de coproduire des œuvres audiovisuelles (certains FAI, Orange notamment, ont en effet des projets en ce sens).

Si les FAI sont en accord avec le fond de l'amendement, deux passages dont ils n'avaient pas eu connaissance sont encore en discussion. Le premier favoriserait, selon eux, les câblo-opérateurs, le second, les groupes qui s'autodistribuent, comme le groupe Canal + qui est à la fois éditeur et diffuseur. Diplomatie oblige, l'AFA n'a pas pris parti contre la mesure concernant les câblo-opérateurs. En effet Numericable-Noos est membre de l'association. Mais cela n'a pas mpêché les opérateurs de donner individuellement leur sentiment au gouvernement sur ce point.

Autre passage décrié par l'AFA, celui sur les groupes s'autodistribuant. Les FAI craignent qu'ils ne soient favorisés en pouvant déduire de leur assiette fiscale les rémunérations versées aux chaînes. Sur le second point, le ministère de la Culture assure que les FAI se méprennent, et a demandé au CNC de leur décrypter le texte. En attendant, l'AFA demande que soit précisé dans l'amendement que cette déduction concerne exclusivement des chaînes indépendantes de tout diffuseur. En attendant, le temps presse, le projet de loi sur la télévision du futur devant être débattu à l'Assemblée nationale mardi 30 janvier. Et les FAI veulent des garanties.

En savoir plus
AFA
Giuseppe de Martino
Dossier Télé et vidéo sur haut débit
A Matignon, on assure rechercher le plus large consensus avant de soutenir le texte. Un ou deux sous amendements précisant ces passages pourraient ainsi être présentés par le rapporteur de la Commission des affaires culturelles, Emmanuel Hammelin, sur proposition du gouvernement, afin de satisfaire les FAI. Frantz GRENIER, JDN
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Monday, January 29, 2007

FONDS COURTS MÉTRAGES AFRIQUE

FONDS COURTS MÉTRAGES AFRIQUE

Cette action s’inscrit dans le cadre global du Plan Images Afrique mis en place par le ministère des Affaires étrangères en 2003.
Le Fonds d’appui à la production de courts-métrages en Afrique subsaharienne vise à favoriser l’émergence de nouveaux talents. Le secteur du court-métrage est en effet par excellence un lieu d’apprentissage, un espace privilégié pour susciter les vocations, la transmission des savoirs et donc le renouvellement des compétences de tous les métiers de la fabrication des images (producteurs, scénaristes, réalisateurs, artistes interprètes, techniciens).
Par ailleurs, l’absence de véritable enjeu économique pour les courts-métrages en fait un espace de création à part entière qui permet des propositions artistiques très fortes et novatrices.
Sur l’impulsion du Ministère et de l’organisation internationale de la francophonie, le Festival des 3 Continents met en place, à partir de 2007, un dispositif d’aide directe à la production de courts métrages en Afrique subsaharienne.

L'aide à la production est attribuée à un producteur basé en Afrique subsaharienne. Elle est décidée une commission indépendante (Commission Fonds Courts Métrages Afrique), composée de professionnels de l’audiovisuel des pays du Nord et du Sud (nommés pour un an renouvelable une fois). Le montant de l’aide est d’environ 10 000 € avec un plafond de 15 000 €.


Règlement

La demande d’aide doit être présentée par une société de production établie dans pays de la Zone de Solidarité Prioritaire situé en Afrique subsaharienne. Chaque société peut présenter un ou plusieurs projets par commission. Elle adresse les dossiers en 8 exemplaires au service de coopération et d’action culturelle de l’ambassade de France de son pays d’établissement. La date limite de réception des dossiers en ambassade est fixée au 31 mai 2007.
Le service de coopération et d’action culturelle transmet ensuite les dossiers éligibles, avec avis, au Festival des 3 Continents de Nantes.
La commission Fonds Courts Métrages Afrique décide souverainement de l’attribution des aides à la production aux projets ainsi que de leur montant. La commission pourra également décider d’un soutien à la réécriture.
Un dossier non retenu par la Commission Fonds Courts Métrages Afrique peut être représenté à condition d’avoir été retravaillé et substantiellement modifié. Une note synthétique concernant les modifications apportées doit être jointe au dossier.


Critères d’éligibilité

Doivent obligatoirement être issus de l’un des pays concernés :
le réalisateur,
la majorité de l’équipe artistique et technique,
la société de production déléguée.

Le réalisateur doit être âgé de moins de 35 ans.

projets éligibles : fictions, documentaires de création, films d’animation d’une durée inférieure de 30 minutes, tournés sur support film ou numérique.

Le tournage doit avoir lieu dans les pays éligibles pour au moins 75 % des scènes.


Composition de la commission

La commission, composée de 5 professionnels reconnus dans le secteur de l’audiovisuel (3 professionnels du sud et 2 professionnels du nord), sera composée de scénaristes, réalisateurs, producteurs, techniciens et comédiens.


Critères d’appréciation

Sont pris en compte notamment :

Contenu
- originalité (idée, thème développé),
- qualité du traitement audiovisuel ou cinématographique,

Cursus des porteurs du projet

Production
- potentiel de la société de production,
- accord(s) de coproduction,
- éléments financiers garantissant la bonne fin du projet,
- réalisme du budget,
- apport budgétaire en numéraire et en industrie du pays (ou des) considéré(s),





La subvention Fonds Courts Métrages Afrique


L’aide apportée au projet retenu se concrétisera par une subvention versée directement par le Festival des 3 Continents-Produire au Sud sur le compte de la société de production enregistrée localement, après signature d’une convention entre le festival et la société.


Pour tous les projets de courts métrages, la subvention, d’un montant de 15 0000 € maximum, sera versée en 2 temps :
versement de 60 % lors de la signature de la convention,
versement de 40 % à la réception du master vidéo sous-titré en français.

Tous les projets retenus seront parrainés par un professionnel aguerri, choisi parmi quelques noms proposés par la commission en fonction des besoins spécifiques de chaque projet (écriture, technique…). Ce professionnel sera le garant de la bonne production du film.


Droits de diffusion du ministère des Affaires Etrangères et de l’OIF

Pour tous les courts métrages soutenus, cette subvention libère, pour le compte du ministère des Affaires étrangères et de l’OIF, les droits de reproduction et de diffusion non-commerciale à l'étranger, au sein des établissements culturels français et, pour la France, dans le réseau de la "Cinémathèque Afrique" (Culturesfrance) du ministère des Affaires étrangères. Ces droits sont acquis sur tous supports (sauf TV) pour une durée de 7ans et quelle que soit la version de l’œuvre.






Constitution du dossier


Aides à la production :

Les dossiers en 8 exemplaires doivent comporter :

un formulaire d’inscription,
une note de synthèse du projet en français,
le synopsis en français,
le scénario en français,
le curriculum vitae du réalisateur,
le budget de production détaillé (y compris la production d’une version internationale),
le plan de financement (acquis et prévu),
le calendrier d’exécution mentionnant la date prévisionnelle d’entrée en production,
le statut de la société de production, son capital social et ses références,
la copie du contrat de cession des droits d’auteur,
la liste des techniciens avec leur fonction,
les copies des accords de coproduction,
l’engagement d’un diffuseur ou d’un distributeur, le cas échéant.


Festival des 3 Continents – Produire au Sud
Date limite de dépôt du dossier : 31 MAI 2007
AMBASSADE : ……………...


Date de la commission

FORMULAIRE D’INSCRIPTION : FONDS D’APPUI AUX COURTS METRAGES AFRICAINS



TITRE :

REALISATEUR : NATIONALITE :


GENRE : SUPPORT : DUREE :

LANGUE DE TOURNAGE : LIEUX DU TOURNAGE :

DEBUT DU TOURNAGE : FIN DE TOURNAGE :

Date de finition / date de livraison du PAD :

RESUME en 5 lignes maximum :






SOCIETE DE PRODUCTION :

Nom du gérant :

Adresse :

téléphone : télécopie : courriel :

EQUIPE TECHNIQUE LOCALE :






DISTRIBUTEURS/DIFFUSEURS : (facultatif)



PLAN DE FINANCEMENT (en € )
Précisez les aides acquises (joindre justificatifs) et les aides demandées








Total du budget de production en euros (€ ) :

Total des financements acquis en euros (€ ) :

Montant de l’aide demandée au Fonds d’aide aux CM (Afrique subsaharienne) en euros (€) :

Date :
Signature du producteur et cachet:


Date :
Signature du réalisateur :



Monday, November 13, 2006

il est encore temps d'envoyer un projet!!!!!

Des précisions sur Une fiction en boite :

Une fiction en boite permet à des jeunes réalisateurs de mettre en scène et filmer un plan séquence qui soit un film court en lui-même, de 5 minutes environ.
Ce plan séquence peut être une scène exemplaire de votre prochain court ou long métrage, comme un « pilote », comme un film court.
La diversité culturelle des films doit donner une « autre image de la banlieue », voilà pour la série des 6 films du point de vue du cahier des charges.
Cette master class de deux semaines, du 4 au 15 décembre est dirigée par un cinéaste confirmé et comprend une formation courte à la prise de vues et de son en numérique –petites caméras.
Le premier jour est consacré à la relecture des scénarios et à la présentation théorique de la mise en scène et des mouvements éventuels de caméra, à partir d’une dossier iconographique – dessins des axes de prise de vues, photos des décors.
Les trois jours suivants sont dédiés à la répétition des films en plan séquence avec les comédiens et si possible dans le décor pressenti (1/2 journée par film). Le cinéaste confirmé apporte ses conseils sur les aspects esthétiques et techniques – direction d’acteurs, mise en scène …
Le cinquième jour est employé à des exercices de prise de vues et de son qui se dérouleront si possible dans les décors, sous la direction d’un ingénieur du son qui maîtrise aussi les techniques de prise de vues avec des petites caméras numériques.
La deuxième semaine est consacrée aux tournages pendant trois jours (2 tournages par jour), les participants occupent alternativement les postes de réalisateurs sur leur propre film, puis d’assistants réalisateurs, opérateurs prise de vues ou de son, sur les autres films.
Le quatrième jour et la matinée du cinquième jour se déroulent dans les salles de montage à d’éventuelles rectifications sur les films, additions de sons ou harmonisation de la bande sonore, et à la réalisation des génériques.
L’après-midi du dernier jour est destinée à la projection et analyse des films.

Pour postuler, vous devez nous présenter, pour la pré-sélection avant le 15 novembre, un scénario de film court tourné en plan séquence, à Saint-Denis, et « donnant une autre image de la banlieue ».
Si vous êtes présélectionné, vous vous entretiendrez fin novembre avec le jury de votre projet sur la base d’un dossier iconographique avec des photos de vos comédiens et lieux de tournage.
Pour ceux qui le souhaitent, une journée préliminaire de repérages, avec l’aide de la commission du film du nord est parisien, aura lieu fin novembre.

Une fiction en boîte est une série sur le modèle de « Paris la Métisse », film de long métrage composé de 15 films courts en plans séquences, présenté en ouverture de nos rencontres « Songes d’une nuit DV », qui vient de recevoir un prix dans un autre festival.
Une fiction en boîte – 6 films courts, fera l’objet d’une projection-rencontre avec la profession et les amis, à la Maison des auteurs de la Sacd, courant janvier et de présentations dans des festivals de courts métrages tels que Songes d’une nuit dv. Nous essaierons d’intéresser des diffuseurs…

Contact : formation@altermédia.org - Altermédia 01 42 43 10 30, Julie.
Nadia El Fani 06 20 22 56 71

Thursday, November 09, 2006

Projet de films courts collectifs avec financements acquis!

Voici une annonce que je vous communique et qui me semble très intéressante. Normalement je devrais faire partie de l'encadrement du projet ... je sais que les délais pour des idées sont courts.... mais en s'y mettant deux ou troisjours/nuits c'est du dommaine du possible!!!!

Master class
sous la direction d’un cinéaste confirmé

Résidence de réalisation de 2 semaines à Saint-Denis :
- pour faire des films qui donnent une autre image de la banlieue avec une aide aux repérages et à la
ré-écriture de scénario,
- pour entraîner 6 jeunes réalisateurs à l’outil numérique avec des exercices de prise de vues et de son,
- pour favoriser la diversité des expressions culturelles avec le soutien d’un professionnel dans la direction d’acteurs.

Cahier des charges :
Tourner un plan séquence de 5 minutes.

 Nombre de participants :
6 - chacun tourne son propre film
Pré-sélection sur scénario,
sélection sur entretien
Projections publiques dans manifestations professionnelles
Coût : 5000 € pris en charge par la DIV, le CRIF et l’Europe

Dates : du 4 au 15 décembre 2006 elles ne sont qu'indicatives....


Modalités d’inscription :
Cv + synopsis + note d’intention + scénario d’un film court de fiction donnant une autre image de la banlieue, en un plan séquence, à adresser avant le 15 novembre 2006 à formation@altermedia.org et par courrier en 3 exemplaires :

Altermédia
13 rue Fontaine
93200 Saint-Denis
Tél : 01 42 43 10 30

Adhésion obligatoire


Nadia El Fani
 

Saturday, October 21, 2006

APPEL A SOUMISSION DE FILMS A LA SEMAINE DE LA GUILDE

APPEL A SOUMISSION DE FILMS A LA SEMAINE DE LA GUILDE

La Guilde des Réalisateurs et Producteurs Africains appelle à une soumission de films pour la Semaine de la Guilde organisée dans le cadre du Festival Panafricain du Cinéma et de la Télévision de Ouagadougou (FESPACO) du 24 Février au 3 Mars 2006 à Ouagadougou au Burkina Faso.

Initiée lors de l’édition 2005 du FESPACO, la Semaine de la Guilde se veut complémentaire de la sélection officielle du festival. Elle se donne pour mission d’encourager de nouveaux regards cinématographiques sur l’Afrique ainsi que de nouveaux regards sur le cinéma en Afrique. La Guilde a mandaté Aboubakar Sanogo comme Délégué Général de la Semaine.

Pour sa sélection 2007, la Semaine de la Guilde recherche des films dans les catégories suivantes :

a) Exploration-Innovation Cette catégorie exprime le désir de La Semaine
de stimuler et d’institutionnaliser les explorations thématiques et formelles. Nous recherchons des films d’avant-garde, qui font progresser le discours, l’iconographie et la sonographie de la représentation filmique de l’Afrique.

b) Dissidence. Nous percevons ceci comme étant le credo de la Semaine des Réalisateurs. Nous voulons ici encourager un cinéma de caractère, un cinéma à tempérament, aussi bien sur le plan esthétique que politique, une traduction cinématographique/audiovisuelle du devoir de dissidence. Nous recherchons donc des films qui expriment un esprit et un sentiment de défiance et de rébellion vis-à-vis de la situation et de l’image actuelles de l’Afrique, des films exprimant de manière novatrice et pertinente la notion, le sentiment et l’acte de désaccord avec et d’opposition au statut quo.

c) Femmes et Cinéma. Nous pensons que les femmes doivent être représentées de manière adéquate dans notre approche même du cinéma. En ce sens, nous recherchons des films qui élargissent, enrichissent et complexifient notre compréhension et nos rapports aux questions des femmes, de la féminité, du féminisme. Les films recherchés devront approcher ces questions de manière originale, urgente et audacieuse.

d) Le populaire. Dans cette catégorie, nous voulons entamer une réflexion sur la notion du populaire dans le cinéma. Nous pensons qu’un cinéma autosuffisant en Afrique se doit d’avoir un rapport au populaire, d’avoir une dimension populaire. A ce titre, nous recherchons des films qui traitent au mieux de cette problématique du populaire ou/et qui ont eu une réception « populaire ». Nous encourageons des films de nouvelles (Nollywood par exemple) et d’anciennes (Egypte) traditions de cinéma « populaire » en Afrique.

e) Rosebud. Nous souhaitons encourager ici les films de nouveaux et jeunes cinéastes dans ou issus des écoles de cinéma et mettre en lumière les meilleurs films des étudiants de cinéma ou nouveaux diplômés des écoles de cinéma. Elle se veut aussi une sorte de « clearing house » pour les lectures de scénarios, informations sur les sources et contrats de financement de film, etc.

f) L’Afrique Vue du Dehors. Nous recherchons des films réalisés par des cinéastes non africains sur l’Afrique. Ces films devront jeter un regard nouveau et élargir notre savoir et compréhension de la complexité du continent africain. Ils peuvent aussi être des films ayant reçu une résonance médiatique ou publique susceptible de jouer un rôle dans la perception générale de l’Afrique.

Les films peuvent être des courts, moyens ou long-métrages, de fiction ou documentaires, mais devront nous parvenir en format DVD.

La date de limite d’envoi des films pour l’édition 2007 de la Semaine de la Guilde est fixée au 15 Décembre 2006 à l’adresse suivante:

Aboubakar Sanogo
20 Rue Alphand,
75013 Paris
France.
Phone 33-(0)1-45-80-58-96
E-mail: aboubakar.sanogo@gmail.com

Besoin pour tournage

Bonjour,
Comme le tam-tam fonctionne bien..
Je continue mes recherches avec vous..
Pour un tournage à Paris de 10 jours entre mi Novembre
je Cherche :

- Un homme blanc entre 40 et 50 ans grisonnant,
bedonnant et un peu dragueur..(3 jours de tournage)
- Une femme blanche de 40/50 ans bourgeoise (1 jour)
- un appartement avec 2 ou 3 chambres assez classique,
dispo 6 jours maximum.
- 2 policiers hommes (2 jours de tournage)
C'est tout pour l'instant !
Tout ça avec un petit budget..pour changer..
Tous à vos tam-tam !!
MERCI
Annabel







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Thursday, October 19, 2006

The Black Filmmakers Network

The Black Filmmakers Network, herein referred to as “the network or BFN, was formed by a group of filmmakers in May 2003, this after they realized the need for networking as well as advancing the course of the previously disadvantaged within the Film Industry. We are a non-profit organisation that is run by black filmmakers on voluntary basis. BFN has over 30 production companies and over 250 individual members working in the audio/visual industry.

Our website, which serves as a networking vehicle, can be accessed at www.blackfilmmakers.co.za
A while ago BFN requested a meeting with Yvonne Kgame, but only met with Kamschilla Naidoo, to formally introduce the Black Filmmakers’ Network (BFN) and highlight BFN’s deep concern at recent industry developments regarding issues of accurate and authentic representation in a number of strategic industry meetings that have been taking place between SABC and some recently formed film and television associations that appear to be separate entities who are independent of each other, but, on the contrary, are actually controlled by the same minority group of people. Unfortunately the meeting was a failure.
BFN wanted, and still, to set the record straight that this group of people, largely dictated to behind the scenes by a group of privileged white companies and led particularly by Rehad Desai, does not genuinely or always represent, as it would like SABC to believe, the full sentiment of the majority black film practitioners.
BFN would like to also seriously question the generally dismissive manner in which Rehad Desai has addressed the concerns of indigenous filmmakers, especially as a representative of SASFED and IPO.
It is worth noting that, while BFN agrees on some issues with SASFED/IPO, but BFN differs fundamentally with Rehad Desai’s group on the issue of industry transformation, interpretation of BEE policy, transformation in an African context, as well as within the scope of NEPAD and AU thinking. BFN has always argued for a viable and embracive policy on the issue of indigenous IP and other numerous issues. Not only that, but BFN is adamant on the fact that in South Africa the African perspective is being deliberately undermined, compromised and sidelined for selfish economic gain. This, among others, is reflected in how film and television training and development initiatives, as well as festivals, are based exclusively on the western white ethos, never involving even the most of the most experienced African film practitioners in the continent.
BFN is very concerned at how the South African film industry in its current make-up deals with issues of accountable transformation, intellectual property rights, ownership and access to film resources (especially film finances) in an industry that continues to be white male driven. Ultimately the solution is in how as fellow South Africans collectively and sincerely negotiate these concerns. The concerns have to be interrogated beyond the limited self interest of an elite minority. BFN does not want to see a continuation of the master narrative dictating yet again how, where, when and with whom a democratic and fundamental transformation of the film industry should happen.

It is BFN firm belief that transformation of the South African film industry includes giving full credit to indigenous intellectual contribution, initiatives and property rights. BFN acknowledges the fact that both black African and white African practitioners need to work together to develop and transform the industry into one that is robust, dynamic, reflective of South Africa’s authentic cultural diversity.
The film industry has to be accurately representative in its growth and economy, sustainability and benefits thereof for all South Africans without any racial prejudice to black Africans. BFN does not have, and never had, a problem with this view-point.

However, it is an undeniable fact that the lack of a meaningful transformation of the minority white dominated industry has a direct and negative social impact on black filmmakers. Because they bear the brunt of its racism, it then goes without saying that it is the black practitioners who have to take control and ownership of, as well as lead the struggle and fight to transform the industry. It simply cannot be left to the whimsical of the ‘master narrative’. This is where organisations such as BFN play a very crucial and necessary role by being at the forefront of these transformation struggles, give voice to, and genuinely empower black film practitioners. Without this approach accountable transformation is never going to happen, period. This does not in any way pre-exclude the participation of South African white practitioners. All that BFN is saying regarding their participation is that white practitioners, because of the nature of the industry’s current make-up, cannot fairly be expected to be the exclusive class of decision-makers and drivers of transformation processes that exclusively bear a direct impact on black filmmakers.

It is very racist to expect black practitioners to confine themselves to only the craft of making films when these historically-related industry imbalances impact negatively on their creative and intellectual work, its relationship with and impact on the South African community, and to ignore the fact that they are (-not only in the past-) the majority victims of the current historical-based industry’s cultural prejudice.

In the new South Africa today, where political correctness in some areas of our society seems to amount to people being in a state of perpetual denial we are witnessing the industry oligarchy re-inventing and positioning itself as it tries everything in the book to re-legitimise its industry strangle-hold in the new South African political dispensation. It does this by, among others, aligning itself to both the genuine grievances of black film practitioners, and the insecurities of practitioners desperate for work.

Surely in a country with a history such as ours we have to wonder why is it that some of our brothers and sisters are quite happy with the current industry status quo and initiatives that propagate the racial stereo-type illusion that black people are perpetual victims who are incapable of advanced thought processes, of being able contributors to both intellectual and academic thinking, of being capable of intelligent rationale or opinion-setting capabilities, for example, on issues of justice, equality, democracy and transformation issues.

These individuals would like us to believe that racism in the South African film industry does not exist and therefore we need to move on with our daily filming lives and just make films and more films, especially for the overseas western audiences with whom they have such a deep sense of infinity connection, more so than the African peoples whose stories they continue to tell and exploit.

They are quick to say – “…just make films and learn the craft of film making”. These individuals like to indulge in mischievous ploys that deliberately go out of their way to confuse a ‘debate about racism in the industry’ and a ‘debate about lack of genuine transformation in the industry’ with pretentious utterances about the debates being about the craft of film making. However, BFN is very clear on the fact that filmmaking and learning the craft thereof does not just happen in a social vacuum.

It is, therefore myopic and simplisticly naïve, if not downright stupid, to reduce the importance of film making purely to ‘just straight-forward business’, this is problematic for the majority of black film practitioners. As much as film should be seen to contribute into the gross domestic product, there are also cultural imperatives to be prioritised, we come from a film industry that was driven by white cultural supremacy, as a result serious cultural damage has been done and that these cultural and economic imbalances need to be redressed for real.

For most indigenous people whose identity, dignity, history and believe system was stripped and demonised by centuries of slavery, colonialism and apartheid oppression, this has not changed much in the post-apartheid South Africa. The reluctance to change this scenario in the post apartheid is a clear indication that the white controlled industry, whilst pretending to embrace change is actually in denial of the democratic changes or it is simply not prepared to acknowledge and respect the culture and the history of indigenous communities.

Against this history coupled to the backdrop of white resistance BFN is very concerned that all the film and television skills training programmes are conducted exclusively by white companies. Why has this been allowed to continue for so long?
Black film practitioners are convinced that these skills development training initiatives and their funding are being manipulated such that they remain perpetually a very exclusive terrain of white trainers. This is yet another form of racially stereo-typing black people as people who are incapable of possessing intellectual and academic, as well as years on the job experience credentials that qualifies experienced black practitioners to participate in the training initiatives as equal counterparts to white trainers.

This undermines black film practitioners’ potential to make meaningful African driven contributions to a much needed accountable transformation process of the industry. It also undermines indigenous knowledge and contribution to the intellectual, the academic, the science and technology world.

It is unacceptable that the stories told are African situated, but told through the filters of a white minority value system to the majority and the international community. Not only does this perpetuates the white hegemony, but deeply undermines black filmmakers’ need for fair and equal opportunities to build quality relationships with and be mentored and empowered by experienced and willing fellow African film practitioners, story-tellers and mentors.

It is BFN’s firm belief that black filmmakers, are also responsible and participative members of our cultural diverse South African community, who have a duty and a critical role to play in rebuilding confidence in the identity of, and the restoration of black people’s dignity through, among others, Afro-centric story telling. The white dominated industry often responds by saying no one is stopping black people from telling their own stories how they want to. But we all know that it takes huge resources to make a film and these are often easily accessible to most white companies who are systematically, economically and structurally advantaged.

As part of a meaningful transformation process it is critical that film and television skills development training programmes are formulated such that they also liberate filmmakers from the clutches of white monopoly companies and training initiatives that deliberately limit the creative, the growth, the intellectual and economic potential of black film practitioners.

Government interventions, in conjunction with SABC and independent black practitioners, have a responsibility to create viable and inclusive environments to grow and empower black film producers to be confident enough to produce African film stories, as well as to successfully run film businesses and schools that are not dependent on white companies for their survival.

In as far as realizing these objectives BFN appreciates the fact that both black and white South Africans have a duty and responsibility to work together in order to realize an industry that is truly and positively representative of South Africa’s cultural diversity. For this reason BFN will not shy away from entering into strategic work relationships and partnerships with, inter alia, white South African and international film practitioners and organisations who respect BFN’s objectives and philosophy for transformation.

It is important to realise that responsible transformation is critical to our long-term national economic development and national reconciliation.

Consequently, BFN wants to see strong and decisive interventions that help to fast-track transformation and, given our past history, real empowerment of black practitioners in the South African film and television industry.

It is against this backdrop BFN would like to categorically express its full support for the IP workshop, Nov 2006, which FEPACI, South Africa, is convening. We appreciate that this will be an opportunity that brings South African film practitioners closer to their fellow film practitioners from around the Africa continent as opposed to always looking to only western approaches for answers.

Furthermore, African filmmakers had called for such a workshop in 2003. They yet again requested and supported the idea of such a broad workshop at the African Film Summit, as well as the 7th General Congress of FEPACI, that was hosted by the Department of Arts and Culture (DAC) and the National Film and Video Foundation (NFVF) of South Africa in association with the Pan African Federation of Filmmakers (FEPACI), in Tshwane, South Africa, in April 2006. (please see the African Film Summit 2006 Report)




The following is an extract from the African Film Summit 2006 Report to use and highlight the need; the call and support for such a workshop.

QUOTABLE QUOTES
If this is to be the African century we aspire to, that aspiration must be under-girded by our willingness to encourage, affirm and support Africa’s creative artists…. We see this Summit as an opportunity to promote and encourage a conducive environment and a renewed energy towards better coordination and alignment of our vision, plans, policies, actions, approaches and implementation strategies within individual states and across states regionally and continentally. This gathering marks an important milestone towards the development of the African Audio Visual and Cinema industries. After it, there should be no excuse why any African government and institutions should not recognise the importance of these media in the social, economic and cultural development of our nations,”
Dr Pallo Jordan Minister of Arts and Culture (South Africa)

“The overall purpose and specific objectives of the Summit are in line with the African Union Commission’s action lines for the field of Culture, the Commission endorses the Summit as an opportunity for film practitioners and relevant institutions to begin working towards the launching of the Pan African Audio Visual Commission”
H.E Adv. Bience Gawanas, Commissioner for Social and Cultural Affairs, African Union

The African Union (AU) can assist with the objectives of the Summit. However, In order to assist, the AU would need to have details of the plans, the statutes, the foundation documentation and the mechanisms, including the roles of the regions. This would give the AU a clear understanding with which it could move forward towards the establishment of the African audio visual and cinema commission and fund”
Dr Kamel Esseghairi Director at AU Social Affairs Commission

“The Summit and the 7th Congress of Fepaci were indeed an astounding success; the challenge ahead is the immediate implementation of the various resolutions and recommendations. “
Seipati Bulane Hopa Secretary General of the Pan African Federation of Filmmakers (FEPACI)

“We strongly believe that institutions such as the African Union and programmes such as NEPAD need to be decisive driving forces of African audiovisual policy and are also convinced that their commitment to the implementation of the above instruments is a fundamental precondition for development and growth of the audiovisual industry across the continent”
Mr Eddie Mbalo CEO of the NFVF and Chairperson of the Summit Steering Committee

For over a decade, the world has been evolving under the profound effect of globalisation with numerous economic, social and cultural consequences for all countries in the world. This evolution is picking up speed consequent to and influenced by today’s information and knowledge society and the massive development of new technologies, digital equipment and capacity and the circulation of images and sound without any frontiers. The creation of the Commission and the Fund aims at creating conditions that allow the audiovisual and cinema sectors to contribute to the development of Africa. Mr Jacques Behanzin Former Secretary General of the Pan African Federation of Filmmakers (FEPACI)

For most indigenous filmmakers, the critical challenge is still the quest to tell stories, their stories, through their own eyes, in their own filmic language. But the industry’s lack of a truly meaningful transformation, makes this a difficult task to realise. To this end, we need to engage in dialogue that will enable us to create our own film agenda, and we see the FEPACI workshop as providing one of the many necessary building blocks that provide an opportunity for people of the African continent to talk to each other, share areas of common purpose while learning from each’s diverse experiences and forms of African story-telling.


BFN is now very concerned that SASFED and IPO have been hijacked by a group of individuals who are conspiring to undermine and/or even sabotage the FEPACI workshop. One of the key reasons is the group’s fear of a strong and experienced independent African contingency on whom SASFED and IPO have no monetary-based influence and the anxiety that such a contingency will not endorse its overall Euro-centric driven strategies.

BFN is deeply appalled by the tendency of this group within SASFED and IPO …especially by those individuals who claim to be representative of black South African filmmakers but are in actual fact pushing for a model that does not address concerns of black Africans…to tend to reduce black practitioners’ concerns and initiatives to mere narrow Africanist ‘rantings’ It is almost as if indigenous people are invited into these structures ‘to legitimize concerns that are not really ours’ – and possibly as future trainees to fund the initiatives. We have to ask - who do they really represent with their double-speak approach? It seems our concerns are coming from very different perspectives – and while the craft of filmmaking is important – the race and identity debate as perceived by black film practitioners is of paramount importance.

It is against this background that BFN feels the need and a sense of duty to support an African initiative as BFN has absolutely nothing to fear from such a workshop, but a lot to gain.

Lastly, whilst we acknowledge and applaud SABC for its positive transformation progress and achievements both past and current, the broadcaster still needs to sort its logistical problems out and really put their money where their mouth is in terms of successfully empowering a new wave of filmmakers who will manifest an authentic indigenous narrative AND REAL TRANSFORMATION.

However, and despite these continued teething problems BFN is very mindful not to fall into the same trap, as we have witnessed with alarm, the tendency of some of these recently formed alliances’ attempt to undermine indigenous representation, its struggles, and efforts within the scope of SABC for transformation which whilst not excluding anyone, but is guided by the basic necessity to reverse social imbalances and a determination to succeed. BFN will always support SABC in striving for an all embracive solution to problems. BFN does not agree with the privileged minority’s extreme and wholesale attitude aimed at portraying indigenous representation at SABC as enemies of independent film and television producers.

It is in this spirit that BFN would like to meet with SABC to discuss these matters further at the soonest possible date. We’ll appreciate it if you can grant BFN an appointment to do just that.

We look forward to a meeting with you.

Best regards

Sipho Singiswa
Black Filmmakers’ Network
NPO reg No: 050-147
Enquiries: Thapelo Joy Pelo (secretariat)
082 532 7223
thapeloj@webmail.co.za

Wednesday, October 18, 2006

World Cinema Fund by the German Cultural Foundation will expire in late 2007

Dear Friends and Colleagues of the World Cinema Fund,



We need your help:

As you probably know, the initial support of the World Cinema Fund by the German Cultural Foundation will expire in late 2007.



The World Cinema Fund has been established by the Berlin International Film Festival as an initiative of the German Cultural Foundation in order to support filmmakers from transition countries. The WCF-entitled regions until 2007 are Africa, Near/Middle East, Central Asia and Latin America.



Unfortunately our initial funding by the German Cultural Foundation is limited to a period of three years. This is why one of our main goals at the moment is to ensure the future financing of the World Cinema Fund, and we would like to ask you to help us with this.

It would be fantastic to hear ideas and suggestions from your side, and especially to receive an individual letter from you in which you can tell us why you think the World Cinema Fund is an important fund/initiative and why it must not cease to exist after 2007.



As you may know, the World Cinema Fund receives about 100 submissions for each of the two annual deadlines, and as there are so many good projects, we try to also be pragmatic in the project selection in order to ensure that the funded projects are going to be realised quite soon. Since the creation of the WCF two years ago we have given production support to 20 films already. Some of them are currently in post-production or already very advanced in the pre-production, and several of them have already been or are screened at international festivals or in cinema. This makes us very happy of course, and it also gives us the opportunity to demonstrate the importance and the necessity of the World Cinema Fund – a German fund which is committed to world cinema and cultural diversity, and whose support must be spent in the WCF-regions and not in Germany. This fact allows us to work efficiently, even though our annual budget of 500.000 – 600.000 Euros is quite small.



As a German partner is required for the project once it is supported by the WCF, we try to serve as a link between filmmakers and production companies from the WCF-regions and possible German partners, and we are more than happy to have been able to help establishing several contacts already.

In addition to this, we noticed that more and more German production companies are interested in films from WCF-eligible regions. This is of course important for us as well, because it shows us that the international awareness for films from these regions is increasing. This is significant with regards to the film industries of the regions – one of the basic elements of our work.



Please find attached a list of all WCF-supported projects until now.



We would be grateful to receive letters from you saying why the World Cinema Fund is important (if possible by the end of October, by e-mail or fax, if possible with your letterhead). This would help us to create an awareness for the necessity of the continuation of the World Cinema Fund after 2007.



If you have any further questions, please just let us know.



Looking forward to hearing from you.



Best regards



Sonja Heinen Vincenzo Bugno



The World Cinema Fund is initiated by German Federal Cultural Foundation in cooperation with Goethe Institute.
Supported Films - World Cinema Fund
VENICE 2006:
SUELY IN THE SKY (Brasil) by Karim Ainouz, Brasilian-French-German coproduction
(Videofilmes, Celluloid Dreams, Shotgun Pics) as well as ROME RATHER
THAN YOU (Algeria) by Tariq Teguia, Algerian-German co-produktion (Neffa Films,
Flying Moon) have just been screened in the section Orizzonti of the International Film
Festival of Venice 2006.
CANNES 2006:
Hamaca Paraguaya (Paraguay) by Paz Encina, Argentinian-French-German coproduction
(Fortuna Films, Lita Stantic, Slot Machine, German partner: CMW
Film/Black Forest Films) - Cannes Film Festival 2006 „Un Certain Regard“ – awarded
with the Fipresci Prize.
BERLINALE 2006:
Competition: The Minder/EL CUSTODIO (Argentina) by Rodrigo Moreno,
Argentinian-German co-production (Rizoma Films, German partner: Pandora Film) –
awarded Alfred-Bauer-Preis. Screened on many international film festivals (e.g. San
Sebastian and Santiago de Chile – awarded with the 1st prize). In Lima it won the award
for the best script. Sold by The Match Factory in different international territories.
Forum: Atos dos Homens/Acts of Men (Brasil) by Kiko Goifman, DOCUMENTARY,
brasilian-German co-production (Paleo TV, German Partner: MilColores
Media/Cachoeira Films), screened furtheron at the festivals of Guadalajara, Buenos
Aires and São Paulo.
Other WCF-FILMS AT INTERNATIONAL FILM FESTIVALS, AWARDS etc.:
Paradise Now (Palestine) by Hany Abu-Asad, German-Dutch-French-Israelian coproduction
(Augustus Film, Lumen Films, Lama Productions, German partner: Razor
Film), so to say "the first WCF-funded film" won the Golden Globe as best foreign film.
It was screened in Competition at the Berlinale 2005, awarded with an audience award,
the Amnesty International Award and other prizes and was nominated for the Oscars.
Screened on nearly 50 international film festivals und awarded for the best script at the
European Film Awards 2005. In the meantime internationally sold by Celluloid Dreams
to more than 40 territories.
Saratan (Kyrgyzstan) by Ernest Abdyshaparov, German-Kyrgyzsian co-production
(Kyrgyz Filmstudio, German partner: Icon Film) was in Berlinale 2005/Panorama, and
was afterwards screened at about 15 international film festivals, awarded the first prize
at Marrakesh Film Festival.

The World Cinema Fund is initiated by German Federal Cultural Foundation in cooperation with Goethe Institute.
A Perfect Day (Libanon) by Khalil Joreige and Joana Hadjithomas, Libanese-French-
German co-production (Mille et Une Productions, German partner: Twentytwenty,
Thanassis Karathanos), screened at the festival in Locarno in 2005, awarded by the
Fipresci-Prize. Further festivals: a. o. Toronto, Dubai, Montreal, Istanbul, Hong Kong.
IN POST-PRODUCTION:
EL OTRO (Argentina) by Ariel Rotter, Argentinian-French-German co-production
(Aqua Films, Celluloid Dreams, Selavy Filmproduktion)
Las Vidas Posibles (Argentina) by Sandra Gugliotta, Argentinian-German co-production
(El Angel Film, Fieber Film)
FARO – La Reine des Eaux (Mali) by Salif Traoré, Mali-French-German co-production
(PAV Communication, German Partner: Bärbel Mauch Filmproduktion)
Other supported projects, shooting in 2007
Ghussoun (Israel/Palestine) by Yaron Shani & Scandar Copti, Israeli-palestinian-
German co-production (Inosan Productions, German partners: Twentytwenty,
Thanassis Karathanos, World Sales already attached: The Match Factory)
Zion and his Brother (Israel) by Eran, Norma Productions
Song from the Southern Seas (Kazakhstan) by Marat Sarulu, Kazakhian-German-French
co-production (Kino Company, German partner: Rohfilm)
Distribution Support (for distribution of films from WCF-regions in Germany
El Abrazo Partido (Argentina) by Daniel Burman,
Pegasos Filmverleih (Frankfurt), German Release: 03.08.2005
Dias de Santiago (Peru) by Josue Mendez,
W-Film-Verleih (Cologne), German Release: 08.12.2005
Bombón (Argentina) by Carlos Sorin,
Alamode Film (Munich), German Release: 25.08.2005
The man who copied - O Homem que copiava (Brasil) by Jorge Furtado,
Kool Film (Freiburg), German Release: 01.09.2005
Moolaadé (Senegal) by Ousmane Sembene,
Neue Visionen Filmverleih (Berlin), German Release: 11.05.2006
Madeinusa (Peru) by Claudia Llosa,
Kairos-Filmverleih (Göttingen), German Release: 09.11.2006
The Wind (Argentinien) by Eduardo Mignogna,
Arsenal Filmverleih (Tübingen), German Release: soon.





World Cinema Fund

Internationale Filmfestspiele Berlin
ein Geschäftsbereich der
Kulturveranstaltungen des Bundes in Berlin GmbH

Potsdamer Strasse 5
10785 Berlin
Tel: +49-30-259 20 516
Fax: +49-30-259 20 529

worldcinemafund@berlinale.de
www.berlinale.de
8.-18.02.2007

SUITE REFLEXION CINEMA FRANCAIS SOFICAS

Aux adhérents de l'UPF

Additif à la communication du 16 octobre sur les dossiers prioritaires en cours


6) Avenir des Soficas


Le régime fiscal des particuliers ayant été modifié pour l'année 2006 et suivantes, le régime fiscal des investissements en Sofica n'est plus attractif : s'il reste inchangé, c'est la mort des Soficas, programmée dès cette année. Les établissements bancaires n'assureront pas la collecte en l'état actuel des choses.
Un premier projet d'amendement à la loi de finances pour 2007 modifiant l'attractivité du régime actuel des Soficas (déduction de l'investissement sur l'impôt et non sur l'assiette de l'impôt, déduction de 120% de l'investissement lorsqu'il s'agit d'un investissement dans le capital des sociétés de production) a été rejeté en commission des finances de l'Assemblée Nationale. Ce projet va être représenté à la commission des finances puis en séance plénière à l'Assemblée Nationale. La nouvelle version comporte néanmoins un risque majeur : pour inciter à son adoption il ne sécurise le système global des Soficas que jusqu'à fin 2008.
L'UPF reste très mobilisée. Elle vous invite à lui communiquer toutes vos initiatives en ce sens.



7) Rémunération des auteurs sur l'exploitation des films en vidéo : pour ou contre un accord avec la SACD ?


La rémunération des auteurs sur l'exploitation vidéo des films fait l'objet de nombreuses discussions en raison des difficultés pour les ayant-droits de connaître le prix public des vidéogrammes, assiette de rémunération exigée par la loi. Nos négociations avec les représentants de l'édition vidéo sont sur le point d'aboutir à l'établissement d'une assiette satisfaisante. La SACD demande néanmoins, avant de l'accepter, que soit signé un accord entre les auteurs et les producteurs donnant le choix aux producteurs de négocier avec les auteurs une rémunération auteurs gérée individuellement ou une rémunération gérée collectivement selon des taux préalablement définis. Après étude des modalités proposées dans cet accord nous devrons donner notre point de vue lors d'une réunion qui se tiendra mi-Novembre.


Nous vous remercions de nous transmettre votre avis sur le principe de l'accord proposé (choix de gestion).